De business angel et dirigeant d’entreprise, le voici depuis quelques mois président du CEEI installé au cœur de la Cité phocéenne. Un outil que cet entrepreneur connaît bien et depuis longtemps. Un outil qui joue son rôle dans l’attractivité du territoire tient-il à rappeler. Et pour lequel il a aussi des ambitions.

Lorsque l’on a été vice-président en charge du numérique, n’est-il pas finalement logique de (re)prendre les manettes présidentielles ?

Lire la suite : https://marseille.latribune.fr